22 janvier 2005

Bonne année !

Pour causer linéairement, commençons donc par le commencement de l’année. On évitera le journal façon Bridget Jones, qui retrace laconiquement l’évolution du poids de la dame et de sa consommation de cigarettes et d’unités d’alcool.

2005, donc.
L’année nouvelle commence bien haut dans les Alpes, dans un chalet fort agréable, très très au dessus de Saint Gervais, et au plus haut point des Contamines, ce qui, à pied du parking dudit village avec toutes les courses, sacs, et victuailles, est loin en montée. Mais comme on dit, ça réchauffe. Avec, comme protagonistes, Thomas, Bernard (le prêteur de chalet, qu’il soit loué), Anne et les autres, qui ne m’en voudront pas j’espère de ne pas les énumérer. 
L’année nouvelle commence avec une bataille de boules de neige mémorable aux Contamines, suivie
d’une fin de nuit bien méritée, enfin !
Non, le bleu du ciel n’est pas truqué…

Evidemment, comme tous les ans, on prend des résolutions qu’on tiendra ou pas, c’est selon :
1. arrêter de baffrer : peu probable. On ne sait jamais ce qui peut arriver.
2. se (re)mettre assidûment au sport : viable. A condition d’être à moins de 40 kilomètres de la piscine la plus proche, sinon, cela freine la motivation.
3. décrocher le job de sa vie : obligé. Car on n’a pas forcément envie d’être le héros du remake de Tanguy, 28 ans, qui vit toujours chez ses parents. Corollaire, copyright Anne Domain : répétez ce mantra après moi « non, revenir vivre chez ses parents après cinq années de liberté n’est pas un échec ». 

Et, en vrac pour tout le reste :
4. ne pas oublier les anniversaires
5. ni de sortir le chien avant d’aller se coucher
5. écrire son article du lundi pour EntreNewYork si l’inspiration vient avant 23h dimanche soir
6. arrêter d’écrire n’importe quoi.  Chef, oui, chef.

Affaire à suivre...

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